[quête du dernier Humain]Le Pendule Etoilé.

Deyonnu observa ce qui l'entourait, c'était beau, très beau, peut être un peu trop... En tout cas elle n'arrivait pas détaché son regard d'enfant du paysage. Les arbre semblait formé une barrière naturelle, au point d'entourer toute la citée, un ciel de verdurent les surplombait. Le nom de Citée des Cîmes n'était pas volée. L'endroit était sublime en surface, mais c'était en hauteur que tout était à voir. La vampire suivit la garde, celui-ci l'amena à une petite maisonnette de bois. Mais contrairement à ce s'attendait Deyonnu, ce n'était pas un avant post. Quelle fut sa surprise quand la petit maison s'eleva, tiré par un cordage qui devait être d'une solidité incroyable. Le système monta, encore, encore, puis finalement s'arrêta, quelle hauteur avaient-ils atteint ? Cela la vampire ne voulu l'imaginer, ils sortirent tout deux du monte-charge, et elle découvrit l'autre façette de la citée. les arbres étaient tous relié entre eux par des pont de cordes, certains semblaient pas vraiment solides, et pourtant les habitants les traversaient sans se presser, d'autres étaient larges, des sortes de grandes voie. Les véhicules ne pouvait logiquement pas roulé, leur poids briserait même les ponts les plus solides. Deyonnu apprécia cet endroit avait même d'avoir tout vu. c'était peut être son cotès anti-machine qui lui plaisait - et qui plairait probablement à Alina -. Elle se rendit compte que les maison n'était pas construite autour des arbres comme on pourrait s'y attendte, mais à l'intérieur même, c'était finalement normal au vu des dimension allincinante de certains arbres. Elle fut conduit à traverse cette citée sylvestre, s'arrêtant d'elle même pour regarder les demeure, certaines était creuser sur plusieur étages, comment les arbres faisaient-ils pour être toujours vivant ? le Mystère fut vite résolu, et la salution était incroyable, tout les troncs qui servaient de maison avait au centre, une sorte de pilier centrale, le centre vitale de l'arbre peut être. En tout cas, la cohabition était presque parfaite. Deyonnu fut rappelait une nouvelle fois par le garde qui faisait office de guide, une fois de plus elle quitta avec un leger regret la vue magnifique. Le plus impressionnant pourtant restait à venir, le palais... Ou plutôt le Palais, car il méritait sa majuscule. L'arbre, non les arbres, car ce n'était pas qu'un suel arbre, mais plusieurs immenses troncs qui se serait dans un caprice de la Nature, enroulé les uns dans les autres, formant un immense troncs mutliple. La vampire resta la tête levé devant l'incroyable phénomène, était-ce un sort qui avait produit cette incroyable choses végétale ? Non, la magie pouvait certes produirent de tel phénomène, mais ce qui était le plus beau dans ce Palais, c'était qu'il était entièrement naturel...
Elle manqua de tomber de la vide, le garde captura son bras alors qu'elle faillit faire le pas de trop.

-Mademoiselle ! Fit-il apparemment exaspérer.

Deyonnu se confondit en escuse, c'était certes un simple elfe, mais elle agissait bêtement depuis son arriver... Arpès tout, il aurait pu juste lui donner le trajet à suivre, au lieu de ça, il avait profiter de l'occasion pour lui montrer toutes les choses impossible que cette citée avait à montrer. Elle reprit donc une marche plus classique, la tête bien droite, fixant la nuque fort agréable de l'elfe. Puis ils arrivèrent enfin devant le Palais. Une porte d'acier lourd se dressant devant eux. Là encore la solution fut inattendue. le garde s'approcha de la porte, et toqua, simple geste pour une réponse toute aussi simple. La porte fit un bruit monstre en s'ouvrant, non pas qu'elle soit pas bien entretenu, mais de part sa taille on ne pouvait guerre esperait qu'elle s'ouvre sans faire le mondre bruit. On l'a conduisit à travers l'endroit, pour une fois, l'idée qu'on s'en faisait était effective, tout était fait de bois, les meubles - logique -, les murs - tout aussi logique - et les statue -déjà moins logique.. Quoique dans cette citée si -. Finallemen, ils l'a firent entrée dans une anti-chambre, son guide-gardien lui dit :

-Patientez ici, la Reine va vour recevoir.

Pourquoi fallait-il que cet imbécile de Seigneur la poursuive jusque dans son propre palais ?
Si le fait que l’antre du dernier Humain soit située en Aepra pouvait être considéré comme une bonne nouvelle, que Seigneur de Thubn ait embauché une demie douzaine de quêteurs en était une moins bonne. Chaque jour, Kementari apprenait que quelqu’un s’était rendu près des Cascades Gelées.
Fondamentalement, la jeune femme se fichait éperdumment de cette antre qui recelait soi-disant un trésor mais elle s’inquiétait pour les fleurs des neiges. Cela pouvait paraître insignifiant, mais ces fleurs étaient l’un des trésors les plus précieux du royaume. Elles étaient très fragiles et le simple fait qu’on les touche de manière trop abrupte pouvait les briser. Or, la jeune Reine avait peur que toutes ne soient détruites par les curieux – incultes par-dessus le marché. Mais, ça, elle pouvait s’en occuper sans soupirer le moins du monde, si ce n’était pour les fleurs, tandis que recevoir une envoyée de Thubn – pour une raison non énoncée de surcroît – ne pouvait se faire sans de profonds soupirs déchirants et exagérés, même pour une Reine aussi douce et patiente que Kementari.
Elle poussait de longs gémissements rien qu’à l’idée de devoir la recevoir tandis que son conseiller, assis sur une chaise et jouant avec un pendentif, la regardait de travers, non sans un demi-sourire amusé. Une servante s’employait activement à lacer son corset de manière à ne pas l’étouffer tandis qu’une autre la maquillait. Elle venait à peine de se réveiller que déjà les soucis lui tombaient dessus. C’était le premier rendez-vous qu’elle avait de la journée et, bien qu’il ne soit encore qu’à quelques heures, elle le redoutait déjà. Le Seigneur ne pouvait envoyer une de ses émissaires pour une broutille ; un simple messager aurait alors suffit. Non, il fallait que ce soit plus important. Rien que pour cela, il fallait absolument qu’elle se méfie. Poussant un énième geignements, elle s’assit près de son conseiller et amant, la mine renfrognée. Il rit et se leva pour la contourner et lui passer le pendentif autour du cou. Il l’attacha délicatement et revint s’asseoir à côté d’elle. La jeune femme passa une main gantée sur la petite pierre.

Elle mettait ce pendentif tous les jours de l’écume, en souvenir de la mort de sa mère et de sa sœur. Son cœur se serrait à chaque fois qu’elle le voyait mais c’était une punition qu’elle s’infligeait à elle-même pour ne pas avoir su les protéger. Il appartenait à sa famille depuis des générations et des générations. En jetant un coup d’œil au miroir, elle le détailla une nouvelle fois, comme si elle ne le connaissait pas encore. On l’appelait le « Pendule Etoilé », mais elle ne comprenait pas pourquoi. C’était une petite chaîne d’argent légère au bout de laquelle pendait une sphère rouge sang dans laquelle brillait une forme noire qu’on aurait pu voir comme une étoile, avec de l'imagination – mais il n’avait rien d’un pendule. Kementari n’avait jamais su comme ce pendentif était arrivé dans sa famille, mais elle ne doutait pas qu’il devait renfermer quelque chose de précieux. Il en émanait une sorte d’aura de mystère qu’elle appréciait tout particulièrement malgré que le souvenir auquel il se rattachait soit douloureux.
Elle venait d'acherver sa mélancolique contemplation lorsqu’un messager entra, lui annonçant discrètement que « l’invitée » était arrivée. La jeune Reine haussa un sourcil. Elle était en avance de plus d’une heure. C'était inhabituel. Kementari se leva pourtant, non sans un dernier soupir et, après avoir vérifié que tout allait bien dans sa tenue et dans sa coiffure, laissa son conseiller lui ouvrir la porte. « Reste sur tes gardes » l’entendit-elle murmurer alors qu’elle partait. Mais elle ne lui accorda aucun signe prouvant qu’elle avait entendu. La porte se referma derrière elle, la plongeant dans un étrange silence.
Elle traversa sans se presser les longs couloirs qu’elle connaissait par cœur et finit par arriver devant la porte de l’antichambre de ses appartements. Un garde derrière lequel se déployaient de grandes ailes blanches lui ouvrit et la souveraine entra dans la grande pièce.

Quelle ne fut pas sa surprise de découvrir devant elle une enfant, encore debout et qui s’émerveillait de la décoration de la pièce en majorité boisée. La gamine ouvrait de grands yeux curieux et innocents et Kementari, déconcertée, se demanda quel pouvait être l’état mental du Seigneur de Thubn pour qu’il aille jusqu’à lui envoyer une fillette. Néanmoins elle resta sur ses gardes et se garda bien de montrer trop de douceur lorsqu’elle l’invita à s’asseoir et s’assied elle-même sur un canapé de soie. Une servante apporta quelques collations et la jeune femme se saisit d’une toute petite pâtisserie. Après s’être assuré que son « invitée » s’était bien installée, elle plongea ses dents blanches dans la friandise et s’essuya les doigts.

« Alors… » Commença-t-elle. « Pour quel motif une jeune fille telle que toi peut bien solliciter une audience ? »

Deyonnu resta de marbre devant la reine, peut être autrefois aurait-elle été ébahie devant sa beauté, mais ses pensées parlaient plus que son corps, sur l'instant, elle semblait plsu agacer de la présence de cette inconnue, mais une soupçon de surprise la taraudait, une enfant ? Envoyer par le Seigneur de Thubn ? Que voulait-il encore celui-là ? Il était donc évident que les relations entre ces deux hauts dignitaire d'Elros n'était au top de leur forme. Comment agir délicatement sans avoir l'air d'une voleuse ou d'une profiteuse ? De plus, derrière ses de métal, la vampire aperçue l'objet tant convoitée, un bijoux aux reflet d'argent, une petit pierre sertie dans une petit goutte fait elle aussi d'argent. Deyonnu ne su pas vraiment quoi faire. il faut dire que la situation n'aidait pas. Mais elle avait bien l'intention de récuperer ce bijoux, mais le moyen rester à définir. Tout d'abord, faire connaissance, c'était toujours plus facile de discuter une fois les présentations faites :

-Madame, je crains que vous vous fiez trop aux apparences, ce qui est regretable - aïe, commencez par ça n'était peut être pas une bonne idée... - Je m'apelle Deyonnu, Kzaen Deyonnu. Elle se leva pour exucuter une courbette malhabile, peu habituer à l'étiquette de la cour. J'aimerais d'abord vous faire part de mon ébahissement en visitant votre citée, je dois avouer que mes longues années d'errance aurait pu me donner envie de rester ici si je l'avais connue plus tôt... 800 ans plus tôt.... Je suis une vampire.

Sur ces mots, Deyonnu quitta son fauteuil, observant les paroi de l'arbre avec un intérêt pas si feint que ça, la douceur du bois sous ses doigts était étrange, il sursauta ens entant une pulsation dans le tronc, était-ce une pulsation de l'arbre ? Elle quitta l'écroce du bout des doigts puis se tourna vers la reine, son pas était silencieux, encore plus ici car les sons était haituellement absorber par le bois, elle fit un pas unique mais fut soudainement assis sur le fauteuil, ce n'était pas vraiment voulue, une habitude que la vampire n'avait chercher à perdre, car c'était sa façon à elle de se déplacer. Elle soupira puis se lança :

-Comme vous le savez déjà, je susi venue sous la demande du seigneurd e Thubn, il souhaite quelque chose que vous possèdez... Elle s'arrêta sur ces mots, ne sachant pas vraiment comment lui annoncer que ce qu'elle portait au cou était utile pour une quête...

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